Le cours du temps s'est inversé sur terre. Les morts se réveillent dans leurs tombes, rajeunissent, et finissent par réintégrer une matrice maternelle. Les cigarettes se reconstituent lentement dans les cendriers, et les vêtements sales du matin sont devenus propres le soir venu. Sebastian Hermes dirige un vitarium, une société spécialisée dans le repérage et l'extraction des morts revenus à la vie. Lors d'une mission de routine, il tombe par hasard sur la tombe de l'Anarque Thomas Peak, le célèbre leader religieux. Malheureusement pour Sebastian, cette découverte attise bien des convoitises. Le conseil des Oblits, les Udites, le Vatican : tous veulent mettre la main sur le prophète. Mais dans quel but.
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L'étrangeté de l'effet Hobbard, c'est que le temps passe à l'envers.
Les morts reviennent à la vie et revivent "en arrière" jusqu'au retour dans la matrice de la mère.
Plutôt que de se raser, les hommes se posent des poils sur le visage.
Les gens allument des mégos qui, à force de tirer dessus se transforment en cigarette.
Tout ceci m'avait semblé bien intéressant. J'adorais l'idée de la trame du livre. La couverture me plaisait beaucoup et c'était un excellent moyen de découvrir l'auteur.
Que je ne relirais pas !
Comment d'une idée aussi bonne peut-on écrire un livre aussi nul ?! Mystère. Ou alors il l'a fait exprès, ce n'est pas possible, il a voulu se débarasser du livre.
Pour la psychologie de ses personnages, j'ai l'impression qu'il ne s'est arrêté qu'à trois sentiments différents. Soit ils sont insipides, soit carrément stupides ou bien très con.
Même la garce de l'histoire est idiote.
Sebastian est un naze mou du bulbe
Lotta ressemble un petit chien greffé d'un cerveau de bulot
Joe Tinbane est un crétin fini
Quant aux autres, s'ils n'étaient pas là, ce serait du pareil au même.
Et l'écriture ! J'ai l'impression de lire un livre écrit par un enfant. Non même pas, parce que certains gamins sont doués. Là c'est pire.
Les phrases et les réactions des personnages sont débiles. Mais d'une stupidité sans bornes.
Autant j'aurais aimé un livre ironique, autant là c'est pathétique.
J'arrête là ma critique de ce livre car je n'ai vraiment rien à dire de gentil dessus.
Et en plus, je suis "en colère", je me répète, mais l'idée était tellement bonne que le livre aurait pu être 100 meilleur.