Fin du XIXe siècle. Aura Institoris a grandi dans le labyrinthe de couloirs obscurs du château de ses ancêtres, bâti sur un récif de la Baltique. Lorsque son père, l'alchimiste Nestor Nepomuk Institoris, est assassiné sur l'ordre de son plus vieux rival, la jeune fille se trouve entraînée malgré elle au cœur d'un conflit dont les racines remontent au Moyen Âge. Aux côtés de son frère adoptif, elle décide d'affronter le meurtrier de son père. S'initiant à son tour aux terribles secrets de l'alchimie, elle va braver les intrigues et les dangers, et partir sur la piste du plus grand mystère de l'humanité : l'immortalité... Best-seller en Allemagne, La Fille de l'alchimiste a été traduit dans une dizaine de langues.
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Voilà un livre qui avait pourtant bien commencé.
Les personnages étaient pour le moins intéressant, notamment Aura, qui se révèle une jeune femme pleine de ressource, qui ne s'en laisse pas compter et va au bout de ses idées et tente de mettre à jour la vérité puis de continuer l'oeuvre de son père.
Gillian l'hermaphrodite est également un personnage attachant. Un assassin avec un coeur, ce n'est pas si courant.
Peut être aurait-il d'ailleurs mérité d'avoir un peu plus d'épaisseur ce personnage.
Le début du livre est prenant. Et cela dure sur au moins les 3/4 du livre. On avance en même temps que les protagonistes, on découvre en même temps qu'eux. Et même si je n'ai pas bien vu l'intérêt de mêler les templiers à tout ça, je me suis laissée prendre au jeu.
En revanche, la fin m'a bien déçue. J'ai eu le sentiment que c'était bâclé.
Que l'auteur avait voulu terminer ce livre parce qu'il était déjà trop gros.
Je l'ai limite trouvé ridicule cette fin d'ailleurs. C'est bien dommage, parce que le reste du livre est plutôt bon.