L'attentat a réduit leur vaisseau en miettes et les a précipités sur la Planète Géante, un monde farouche et dangereux qui, quelques générations plus tôt, servait encore de lieu d'exil pour tous les parias de la galaxie. Pour survivre dans ce monde où l'absence de métaux interdit toute technologie, les occupants de l'épave n'ont plus qu'une solution : rejoindre à pied l'Enclave terrienne, de l'autre côté de la planète... à quelque 65 000 kilomètres de là !
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Le résumé m'avait pourtant bien plu et semblait prometteur. Mais ça s'arrête là.
Ce roman écrit au tout début des années 50, me laisse un arrière goût de déjà vu, ou plutôt déjà lu en fait. Rien de neuf sous le soleil je pourrais dire.
Des terriens qui arrivent sur une planète plus ou moins colonisée, mais sans aucune technologie et aux moeurs parfois barbares.
A l'époque sans doute que ce livre était novateur, je n'en doute pas, mais là, pour le coup, je n'y ai rien trouvé de transcendant.
J'ai même l'impression que c'est en fait écrit pour une littérature jeunesse. Peut être étais-ce le cas lorsqu'il est sorti ?
Le héros, Claude Glystra, n'a rien d'un héros, ni même d'un anti-héros.
Il n'est pas particulièrement attachant, ni repoussant, mais justement, il n'a rien de spécial. L'auteur a su lui donner parfois de bonnes idées, mais le reste du temps, je l'ai trouvé quand même assez "mou", "simple". Sans reliefs en fait.